Vous trouverez dans cette page, des informations sur des cyclistes encore en activité de compétition, qui sont passé par notre école de cyclisme ! 

Si vous avez des nouvelles de coureurs qui sont encore en activité de compétition et qui sont passés par notre école, n'hésitez pas, écrivez nous pour que nous complétions cette page, et ainsi suivre leurs parcours sportifs.

 

 

En premier lieu bien sur, un phénomène que tous le monde connaît,

Pauline Ferrand-Prévot qui est arrivée en 1997 à l'école de cyclisme de La Pédale Rémoise,

Pauline Ferrand-Prévot, lors de la victoire de la Pédale Rémoise au Championnat de Champagne des écoles de cyclisme le 3 juin 2001

a ensuite été à l'A.C.B.R. et a ensuite intégrer différentes équipes, pour courir maintenant sous les couleurs de  La Rabobank

 

 

Evan Ferrand-Prévot est arrivé en 1996 à l'école de cyclisme de La Pédale Rémoise,

Evan Ferrand-Prévot, 4éme de l'épreuve benjamins à Neuville le 24 mai 2001

a ensuite été à l'A.C.B.R., à l'U.V. Aube et au C.C. Etupes, il est maintenant au C.C.V.S.A. .

Evan Ferrand-Prévot : « Mentalement, j'ai passé un cap »

Evan Ferrand-Prévot : « Mentalement, j'ai passé un cap »

Evan Ferrand-Prévot, CC Villeneuve Saint-Germain, Picardie

"J'ai beaucoup appris à Etupes. Même si je n'ai pas eu des résultats fantastiques sur le papier, je pense avoir bien progressé, notamment au niveau de l'attitude en course." C'est avec ces quelques mots qu'Evan Ferrand-Prévot résume sa saison 2011.
En effet, même s'il n'a pas eu l'occasion de lever les bras cette saison, le coureur rémois est conscient d'avoir passé un cap sur le plan mental. "J'ai retrouvé le tempérament offensif que j'avais en Espoirs 1. Je suis beaucoup plus offensif, et je prends mieux mes responsabilités lorsqu'on m'en donne" explique-t-il , avant d'ajouter : "Je savais que j'avais le niveau en Elites. Seulement, il y avait plusieurs choses qui faisaient que je n'arrivais pas à avoir confiance en moi, et je suis un coureur qui marche beaucoup au mental."

Selon lui, le déclic a eu lieu au Tour Nivernais Morvan, où il a terminé trois étapes parmi les dix premiers, et où il a accroché une belle onzième place au classement général. "C'est à partir du Tour Nivernais Morvan que j'ai vraiment pris confiance en moi. J'ai passé quatre jours à lutter avec les meilleurs. J'y ai vraiment pris du plaisir, et c'est à partir de ce moment là que je me suis dis que je pouvais faire de belles choses en élites" raconte-t-il.
Pour la saison 2012, Evan Ferrand-Prevot a fait le choix de la proximité avec sa mutation au CC Villeneuve Saint-Germain. "J'habite à Reims, et le service course se trouve à 40 km de chez moi" explique-t-il.
Quand on lui parle de son programme de courses pour la saison à venir, tout est déjà très clair : "Les manches de Coupe de France DN1 seront, bien sûr, très importantes pour le club. Sinon, sur un plan plus personnel, j'aimerais marcher sur des courses comme le Circuit de Saône-et-Loire, essayer de faire un beau Tour Nivernais Morvan... J'aimerais aussi arriver en forme sur le Tour de Franche-Comté. En 2012, j'espère surtout passer un cap sur le plan physique."

Le coureur bientôt âgé de 22 ans reprendra la compétition en Février prochain sur la Tramontane. "Nous serons à cette période en stage à Plata d'Ajo, en Espagne" conclut-il.
Crédit Photo : Nicolas Gachet -
www.directvelo.com

Par Quentin Lafaye

 

 

Quentin BERNIER est arrivé en 1997 à l'école de cyclisme de La Pédale Rémoise,

puis part en sport étude au collège du Cheylard, ensuite au pôle espoir de St Etienne,

effectue ses deux premières années espoir a l'U.C. Aubenas, il est maintenant au C.R.A.C. Roanne.

CYCLISME / Bien le bonjour de Quentin

Publié le jeudi 19 mai 2011, dans le journal L'Union

Quentin Bernier a fourbi ses armes à la Pédale rémoise.

Né le: 30.07.1990 Reims

Quentin Bernier a fourbi ses armes à la Pédale rémoise.http://memorix.sdv.fr/5/lunion.presse.fr/sports/region_article/1229232167/Position1/SDVG_LU/default/empty.gif/56734241306b376e617a7741414c5657?commune=Jouy-les-Reims&rubrique=Sports_region&

Quentin Bernier n'était pas en terre inconnu samedi et dimanche dernier lors des 8es Boucles de la Marne. En effet, le représentant du CRAC Roanne a fréquenté l'école de cyclisme de la Pédale rémoise jusqu'à l'âge de 11 ans.
S'il réside près d'Orange maintenant, ses grands-parents paternels habitent toujours Jouy-les-Reims. « Je reviens assez souvent en Champagne-Ardenne. Ma mère est originaire de Tinqueux ».
Quentin Bernier s'est classé 38e de la première étape (à 26'' de l'Axonais Gert Joeaar), 14e lors du contre-la-montre par équipes et 38e de la 3e et dernière étape (à 07'' de Yann Guyot). Il a terminé la 5e manche de la Coupe de France Look des clubs au 30e rang du général final (1'51 du lauréat Bryan Nauleau).
P.B.

 

Championnat de France de l'avenir , La Chapelle Caro du 16 au 19 août 2012

Quentin Champion de France de l'Avenir Espoir 2012, avec son premier entraîneur(à gauche de la photo) et son entraîneur actuel!

 

 

 

Vicky Fournial est arrivé en 1995 à l'école de cyclisme de La Pédale Rémoise,

a ensuite été à l'E.C. Vallée de l'Aisne, puis au V.C. Bauvais, ect..., elle est maintenant à l'U.C. du Bassin Houiller.

Vélo Portrait - Vicky Fournial

Blog de vtkarchives :VELOTEKIERO ARCHIVES, Velo Portrait ...Vicky Fournial...'Comme un poisson dans l'eau'

© Emmanuel Chaillard

C'est une jeune femme faite du métal dont on fait les championnes. Consciencieuse, dynamique et compétitrice dans l'âme. Vicky est l'archétype même des cyclistes féminines destinées à un grand avenir mais qui ont été sacrifiées sur l'autel du manque de notoriété de son sport par les médias et l'impétueuse obligation de s'assurer un avenir professionnel, faute de quoi futur rimerait avec dur-dur. Maintenant maître-nageuse sauveteuse dans un grand centre nautique des Ardennes, la sociétaire de l'Union Cycliste du Bassin Houiller semble avoir trouvé son équilibre entre le vélo, qui reste avant tout pour elle un loisir, et son métier, symbole de sa réussite professionnelle. Née le 8 avril 1984 à Paris, formée au CS Château-Thierry et la Pédale Rémoise puis à l'EC Vallée de l'Aisne et au VC Beauvais, Vicky a su montrer ses qualités et son tempérament plus d'une fois…

Vicky, peux-tu te décrire pour ceux qui ne te connaîtraient pas ?
Je suis cycliste depuis l'âge de 5 ans. Je pratique la compétition depuis 1990. Mon caractère dynamique me fait durer dans mon loisir. J'ai de même pratiqué l'athlétisme et le triathlon.

Décris-nous ta passion pour le vélo, pourquoi avoir choisi ce sport ?
J'ai choisi le vélo un peu par hasard, venant d'une famille sportive principalement pratiquante de la boxe (mon père et mon grand frère). Depuis toute petite, je baigne dans un esprit sportif. Cependant, pourquoi le choix du vélo ? Après un grave accident de mon frère en vélo, qu'il utilisait en complément à la boxe, il a dû stopper la boxe anglaise pour se diriger vers un sport rééducateur. Seul le vélo ne le gênait pas dans son handicap. Il a commencé par du cyclotourisme et puis a continué par de la compétition en école de cyclisme. En l'accompagnant sur les courses, mon père totalement profane à ce sport a remarqué que des filles participaient aux courses. Ainsi il m'a proposé d'essayer. J'ai donc participé à ma première course en mai 1990, où j'ai glané ma première coupe pour ma première victoire. Et depuis, je me suis prise au jeu et je n'ai jamais arrêté.

Quels sont tes modèles ?
Je n'ai pas de modèle particulier. Mais lorsque j'ai commencé le vélo, j'avais une idole, Jacky Durand, du fait de sa combativité et de ses longues échappées.

Te rappelles-tu de ton premier vélo ?
Oui, j'ai fait mes premières courses sur un petit Gitane gris, un mono plateau et une vitesse. Dommage, je ne l'ai plus.

Quelle est la marque de ton vélo actuel ?
Je roule depuis cinq ans sur un Kuota Kharma en carbone, très résistant et nerveux, j'en suis très contente. Mais mon club me propose pour cette nouvelle saison un nouveau vélo Look.

De quel milieu familial viens-tu ?
Ma mère d'origine polonaise par ses parents est une personne avec un grand cœur, je suis admirative de son parcours professionnel, c'est une femme qui a su construire sa vie à partir de rien, c'est elle qui m'appris à me battre contre toute les situations, comme elle me le dit si bien : un mal fait toujours un bien. Mon père, un grand sportif et combattant, ancien légionnaire, il fut décoré de la légion d'honneur, de la médaille militaire, de plus il a la médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports. Ancien boxeur amateur, il fut champion de Champagne et finaliste des Championnats de France. Il m'a enseigné les bases du sport, il m'a appris à me surpasser. C'est grâce à lui que j'ai pu être championne de France pour la première fois en 2000 chez les Cadettes. Mes parents m'ont donné tous les moyens pour que je réussisse ma vie professionnelle et sportive. Grâce à eux j'ai un caractère de compétitrice tout en restant fairplay. Ils m'ont appris le respect et m'ont donné les bases afin d'obtenir un esprit sain, dans un corps sain. Maintenant c'est à moi de l'entretenir. Mon grand et unique frère Yann est mon grand supporter. On a partagé beaucoup de moments fraternels, on s'est suivis dans le sport (cyclisme, athlétisme, triathlon), j'aimais beaucoup m'entraîner avec lui quand j'étais petite. Il a dû stopper les compétitions pour ses études, c'est une fierté dans la famille, puisqu'il est diplômé de Science Politique.

Quelle victoire t'a laissé l'émotion la plus intense ?
Ma première victoire au Championnat de France à Vertou en 2000. Dans le dernier kilomètre, personne n'aurait pu croire que je pouvais gagner, même pas moi. C'est passé si vite, une arrivée au sprint lancé à 500 mètres de la ligne. Je passe la ligne et j'entends le speaker citant mon nom en tant que championne de France, et je réalise seulement quelques secondes après que c'est moi. Des larmes de joie ont coulé sur le podium. J'ai dormi avec mon maillot, je ne voulais pas m'endormir de la nuit pour ne pas que ça s'arrête. Le lendemain matin, le maillot était toujours là, ce n'était pas un rêve, c'était vrai !

Celle dont tu gardes le meilleur souvenir ?
Toutes mes courses sont des souvenirs intenses, même les moments les plus difficiles ont été des bons moments. Je me réfère à ma grave chute sur la Grande Boucle Féminine Internationale de 2003. Le sport vécu avec beaucoup d'intensité construit un individu, dans n'importe quelles situations.

Quelle expérience gardes-tu de ton passage dans l'équipe Pruneaux d'Agen ?
Un esprit d'équipe, une bonne ambiance et des saisons de route très complètes (Tour du Limousin, Tour de la Drôme, Grande Boucle, Route de France...)

A quand le retour de la grande Vicky aux affaires ?
La situation du moment est un peu plus stable que durant mes études (BTS tourisme et BEESAN), j'essaie de suivre un entraînement plus régulier pour cette nouvelle saison de route 2010. Cependant, le métier de maître-nageur est un métier qui prend quelques week-ends. Avec mes chefs et mes collègues, j'essayerai d'organiser mes semaines et week-ends en fonction de mon programme de courses.

Quels seront tes objectifs pour la saison 2010 ?
Reprendre le vélo plus régulièrement ! Faire une meilleure saison que les trois années précédentes. Au niveau extra-sportif, je vais préparer le concours ETAPS de la session 2011 pour rentrer dans la fonction publique en tant que maître-nageur. Mon calendrier sera organisé en fonction de mon travail. Cependant, je vais sûrement débuter ma saison sur le Grand Prix de Chambéry, et essayer de participer aux différentes manches de Coupe de France et aux Championnats Régional et de France. Une saison complète, c'est 12000 à 15000 kilomètres par an.

Votre sport semble devenir de plus en plus marginalisé, que faudrait-il selon toi pour enrayer ce problème ?
Déjà, le cyclisme féminin n'a jamais vraiment fait la une du journal L'Equipe. Le gros coup de pouce, pour nous les femmes, serait un gros sponsor qui stimulerait les médias.

Tu as fait une année blanche en 2007 pour poursuivre tes études, n'aurais-tu pas préféré être cycliste professionnelle ?
Cycliste professionnelle en France chez les femmes, cela n'est pas encore possible et à l'étranger c'est un risque pour sa santé, à cause de dopage. Il me semble raisonnable de suivre un parcours scolaire en parallèle ou en priorité au vélo pour avoir une situation sûre. Il est vrai que j'aurais été cycliste masculin, mon objectif majeur aurait été de devenir professionnel, mais étant donné que chez les femmes cela reste inexistant, le choix principal ce sont les études.

                        Propos recueillis par Emmanuel Chaillard pour http://velotekiero.sportblog.fr.

 

 

Benjamin CANTOURNET est arrivé en 1997 à l'école de cyclisme de La Pédale Rémoise

a ensuite été au C.C. Villeneuve Soissons Aisne, puis a l'U.V. Aube, il est maintenant au S.C.O. Dijon.

Benjamin CANTOURNET en spécialiste dans la Marne

                               Le :14.05.2011

Benjamin Cantournet enchaîne actuellement les places d’honneur : 3e du Circuit des Vins du Blayais en Coupe de France, au Grand Prix de Saint-Lye et au Grand Prix de Saint-Parres aux Tertres, deux fois 4e et une fois 5e sur la Ronde Nancéienne. Le coureur du SCO Dijon explique à www.directvelo.com : "L’an dernier, j’ai été embêté plus ou moins toute l’année par une sciatalgie, dans la région du nerf sciatique. Là cette année, je ne suis plus embêté par ça. J’ai juste été un peu malade au moment de Troyes-Dijon et Dijon-Auxonne-Dijon. Je n’ai donc pas couru la semaine d’après. A la base, j’aurai dû marcher de l’Artois au Tour du Loir-et-Cher…" Il possède aussi l’avantage d’avoir cette année un contrat au SCO Dijon. Plus besoin donc de travailler à Décathlon comme ce fut le cas l’an dernier : "Je pense qu’au niveau de la récupération, je vais vraiment le sentir lors de ce gros mois de mai."

Début avril, au Circuit des Vins du Blayais, il ne se sentait pas bien en début de la course. L’ancien coureur de l’UV Aube dit être passé par tous les états ce jour-là. "J’ai eu le frein arrière desserré aussi… Dans le final, ça allait mieux. Aussi bien Pierre-Luc Périchon, Alexis Coulon que moi, nous devions chacun aller dans un coup. Et j’étais dans la bonne", explique celui qui est arrivé pour la place de 2e. Bien qu’un peu déçu d’être 3e, il reconnait que Niels Brouzes (VC Rouen 76), 2e, était fort. Depuis, la forme montre crescendo pour Benjamin Cantournet qui n’est pas un amoureux du début de saison. "Je me suis surpris en revanche à Paris-Troyes. D’habitude, je suis toujours à la rue sur cette course et là j’étais devant quand il y a eu la chute… et je finis dans le groupe qui arrive pour la 8e Place…",rapporte-t-il.

Un gros mois de mai est au programme de Benjamin Cantournet. Il va en effet enchaîner : Boucles de la Marne ce week-end puis Tour de Franche-Comté et Tour de Côte d’Or, épreuve organisée par son club. Benjamin Cantournet, qui vient de fêter ses 26 ans, est un spécialiste des Boucles de la Marne. Il a terminé 8e en 2008, 5e en 2009 et 14e l’an dernier. "J’ai vécu à Reims jusqu’à 19-20 ans donc je connais bien ces routes et le coin. Le 3e étape le dimanche après-midi, c’est un chantier dans les vignes. C’est la plus dure par son profil, mais la 1ère étape est difficile aussi avec le vent", prévient-il. Avant de rajouter : "J’ai souvent bien marché… donc je vois pas pourquoi je ne marcherai pas ce week-end. Par contre notre point faible à Dijon c’est le CLM par équipe. On va essayer de limiter la casse et de marquer des points ailleurs que dans le chrono", avance-t-il.

Plus tard dans la saison, il ne pourra défendre son titre de vainqueur du Tour d’Auvergne. Il sera en effet engagé au Tour Alsace. "C’est un peu dommage mais ce n’est pas non plus un drame", estime Benjamin Cantournet qui apprécie aussi les courses du Nord : "Au mois d’août notamment avec Beuvry sur les pavés, les Marbriers et Pérenchies. Les Boucles de la Marne et le Grand Prix des Marbriers sont vraiment les deux courses qui ressortent du lot pour moi. De part mon gabarit, je préfère quand c’est plat, qu’il y a du vent." En junior, Benjamin Cantournet était licencié en Picardie, au CC Villeneuve Saint-Germain. "On avait un bon programme en Belgique avec notamment Kuurne-Bruxelles-Kuurne juniors. J’avais fait Paris-Roubaix où j’ai terminé 5e" se rappelle-t-il.

                 Crédit Photo : Etienne Garnier - www.velofotopro.com

 

 

 

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